Me voilà de retour après une dizaine de jours de ressourcement (si si ça se dit, je viens de vérifier sur le Robert) en France. Rien de tel qu’un petit séjour dans le Golfe du Morbihan pour retrouver son âme. Et puis un petit passage à Paris, évidemment. Figurez-vous qu’il faisait beau en Bretagne. Froid, mais beau. Beaucoup de balades sur les plages, des bolées de cidre à volonté et le goût du caramel beurre salé encore sur la langue. Dieu que ça fait du bien et les souvenirs de ce séjour nous aiderons certainement à tenir jusqu’à la prochaine escapade.
Une petite nouveauté dans ma vie : je suis entrée dans une secte. Cela faisait un petit moment que j’hésitais, que je me posais des questions. Fallait-il que je franchisse le pas ? Que j’abandonne tout ce que je connaissais ? Que je découvre le monde soi-disant merveilleux des Happy Few ? Beaucoup d’avis contradictoires autour de moi. Certains me conseillaient de rester fidèle à ce que je connaissais. Les autres se demandaient ce que j’attendais pour les rejoindre. Bref, un vrai bouillonnement de cerveau à la limite de l’explosion de neurones (remarquez qu’il y a un « s » à neurones). Et puis finalement, après moult tergiversations et errements intellectuels (si si si, n’ayons pas peur des mots), et bien j’ai lâchement craqué. Le samedi 22 mars – soyons précis – j’ai pris mon courage à deux mains (ma carte de crédit dans la main droite) et j’ai poussé la porte de la Fnac. Je me suis dirigée… Public retiens ton souffle. Je me suis donc dirigée vers le rayon informatique de ladite Fnac et j’ai fait l’acquisition d’un petit MacBook. Blanc de son état (what else George ?) et le vendeur était ultra sympa et je pense qu’il aurait convaincu Bill Gates d’en acheter un. Bref tout ça pour vous dire que je fais maintenant partie des Happy Few qui vont essayer de se convaincre que Mac c’est mieux. Car figurez-vous que je ne suis pas sure à 100%. J’ai encore des doutes. Je suis une Mac septique. Car depuis l’arrivée du petit Mac j’ai comme un mal de tête permanent. Déjà changer d’ordinateur c’est presque une torture : le transfert des données, tout ça… Ca devrait être simple, mais dans les faits c’est quand même bordélique. Alors passer de PC à Mac, je ne vous raconte pas la prise de tête. Quelle idée aussi. Tout était bien organisé dans mon petit Tosh. On s’entendait bien tout les deux. Bon il est vrai que depuis quelques mois il commençait à montrer des signes de fatigue et avait parfois un comportement imprévisible. Je l’avais acheté à Vancouver, donc il devenait une peu âgé dirons-nous. Je suis persuadée que les PC sont fabriqués de telle sorte qu’après 3 ans de bons et loyaux services ils se mettent à décliner fatalement.
Bref, j’ai été séduite et mon idylle ne demande qu’à être consommée. Mon seul vrai problème pour le moment c’est de dégoter une version Photoshop pour Mac car sans cela je ne pourrais pas migrer totalement sur ma nouvelle acquisition.
Une petite nouveauté dans ma vie : je suis entrée dans une secte. Cela faisait un petit moment que j’hésitais, que je me posais des questions. Fallait-il que je franchisse le pas ? Que j’abandonne tout ce que je connaissais ? Que je découvre le monde soi-disant merveilleux des Happy Few ? Beaucoup d’avis contradictoires autour de moi. Certains me conseillaient de rester fidèle à ce que je connaissais. Les autres se demandaient ce que j’attendais pour les rejoindre. Bref, un vrai bouillonnement de cerveau à la limite de l’explosion de neurones (remarquez qu’il y a un « s » à neurones). Et puis finalement, après moult tergiversations et errements intellectuels (si si si, n’ayons pas peur des mots), et bien j’ai lâchement craqué. Le samedi 22 mars – soyons précis – j’ai pris mon courage à deux mains (ma carte de crédit dans la main droite) et j’ai poussé la porte de la Fnac. Je me suis dirigée… Public retiens ton souffle. Je me suis donc dirigée vers le rayon informatique de ladite Fnac et j’ai fait l’acquisition d’un petit MacBook. Blanc de son état (what else George ?) et le vendeur était ultra sympa et je pense qu’il aurait convaincu Bill Gates d’en acheter un. Bref tout ça pour vous dire que je fais maintenant partie des Happy Few qui vont essayer de se convaincre que Mac c’est mieux. Car figurez-vous que je ne suis pas sure à 100%. J’ai encore des doutes. Je suis une Mac septique. Car depuis l’arrivée du petit Mac j’ai comme un mal de tête permanent. Déjà changer d’ordinateur c’est presque une torture : le transfert des données, tout ça… Ca devrait être simple, mais dans les faits c’est quand même bordélique. Alors passer de PC à Mac, je ne vous raconte pas la prise de tête. Quelle idée aussi. Tout était bien organisé dans mon petit Tosh. On s’entendait bien tout les deux. Bon il est vrai que depuis quelques mois il commençait à montrer des signes de fatigue et avait parfois un comportement imprévisible. Je l’avais acheté à Vancouver, donc il devenait une peu âgé dirons-nous. Je suis persuadée que les PC sont fabriqués de telle sorte qu’après 3 ans de bons et loyaux services ils se mettent à décliner fatalement.
Bref, j’ai été séduite et mon idylle ne demande qu’à être consommée. Mon seul vrai problème pour le moment c’est de dégoter une version Photoshop pour Mac car sans cela je ne pourrais pas migrer totalement sur ma nouvelle acquisition.
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Lost in London 
T’es fière de toi?eheh.Welcome back ti papoute!J’ai mis de nouveaux messages sur mon blog avec quelques photos, si ça t’intéresse.See you later alligatorBizzzSofi
Ouéééé, bravo! Je suis fière de toi! Et si t’as des problèmes ou des questions, écris-moi, je suis sous-gouroute de la secte ;)Allez, un petit cours privé rien que pour toi: si tu cliques sur pomme-tab en même temps, tu vois tous les programmes qui sont ouverts en même temps et si tu cliques tab, tab, tab (toujours en maintenant la pomme enfoncée) tu peux passer d’un programme à l’autre en 1 seconde! Pis t’as remarqué les « hot corners »? Envoie ta souris dans les coins de ton écrans et regarde ce qui se passe, c’est génial! (Si rien ne se passe, va dans système préférence puis « exposé » et décide toi-même de ce que tu veux qu’il s’y passe). Amuse-toi bien 🙂
le iphone va te faire de l’oeil….fait gaffe!!!honey ball….
une de mes filles vient d’entrer dans cette secte (même modèle, même couleur)et après quelques cafouillages ne veut en aucune façon en sortir.Contente que tu aies eu un temps correct car le week end dernier à Arzon il faisait un temps d’hiver 5°C le samedi, dimanche et lundi avec des averses et un vent pas drôles.à bientôt
@ Sofi, ben oui je suis fière de moi! Pourquoi cette question rhétorique?Je vais aller faire un petit tour dans ton antre…@ Dr. CaSo: merci de ton accueil chaleureux humble sous-gouroute. Merci pour les petits trucs, c’est génial les hot corners. Il se peut que je fasse appel à toi très prochainement car malgré mon enthousiasme, je nage un peu.@ Honey Ball: je ne crois pas. Je trouve que les gadgets sont une perte de temps finalement. Fut un temps j’étais une grande consommatrice de gadgets. J’ai l’impression maintenant qu’ils me donnent plutôt des maux de tête avec toutes les fonctions inutiles et les petits bugs. J’ai eu l’occasion de changer mon mobile récemment, et bien tu vois j’ai préféré garder l’ancien. Je dois vieillir!@ Marguerite-Marie: coucou, contente de te retrouver. Comme ta fille, j’ai hâte de maîtriser la bête. C’est vrai que le printemps a du mal à s’installer cette année.
J’ai testée un mac pendant mon séjour a Bâle, mais j’y ai rien compris… (ca t’étonne pas, avoue!!)
pis, l’avantage, c’est que tu n’es pas obligé de changer de nom, pour ton nouveau.. car Tosh ou (Macin)tosh, ça devrait se faire non? Cela dit, je n’en aime vraiment pas le clavier. Mon powerbook était en alu ainsi que le clavier qui était d’une douceur; celui là,j’ai tout comme l’impression de jouer du marteau piqueur…Des versions photoshop de Mac, ça existe…si je m’appelais Miguel je te dirais tout de suite comment l’avoir. en tout cas bravo et bonne transition.
@ Claire: non non non je n’avoue rien moi!@ Catarbor: Ca y est j’ai le photoshop pour Mac. Je te dis pas le soulagement. Concernant le clavier, c’est vrai que je ne le maîtrise pas encore. Pas vraiment confortable, c’est vrai.